05 Jan J’aime la galette…

… savez-vous comment ? La briochée ! Et pour une fois c’est pas la plus grasse et la plus sucrée ma préférée… J’te laisse la frangipane, j’suis pas fan ! Cependant, trop de galettes tue la galette : autant c’est un vrai plaisir de la voir arriver dans les boulangeries et surtout au bureau après les vacances de Noël, autant c’est un vrai calvaire fin janvier quand elle est encore là au bureau, apportée par le roi/reine de la veille !
Alors comment faire pour rester amie-amie avec cette délicieuse pâtisserie tout au long de l’année ?
– Je la déguste. Parce que j’ai bien compris que si je me jette dessus et que je l’engloutis en 2 secondes (prenant le risque en passant de m’étouffer), je me ressers illico presto et j’en perds le vrai plaisir (au grand désarroi de mes papilles).
– J’ose dire « non merci », même si je ne suis pas aidée par mes super collègues de travail qui n’ont de cesse de me pousser – « aller, juste un petit bout pour la finir » – histoire de ne pas la finir elles…
– Je la mange à la place de mon petit-déjeuner ou de mon goûter et pas en plus. L’idée du « je mange bien avant pour ne pas avoir faim » ça ne marche pas car la tentation de la galette c’est pas de la faim (physiologique) c’est de l’envie de manger (émotionnel).
– J’ai aussi instauré que le 15 janvier, c’est fini la galette (et tant mieux pour l’heureux roi ou reine qui n’aura pas à payer la sienne) car en février c’est les crêpes !!